La tempête Benjamin frappe la France avec des vents dépassant les 130 km/h sur certaines régions, notamment en Bretagne, Normandie et Île-de-France.
Météo France a placé plusieurs départements en vigilance orange “vent violent”, et les ponts de Normandie et de Saint-Nazaire ont été temporairement fermés.
Mais au-delà de l’événement météo, cette tempête nous rappelle quelque chose de fondamental : dans la nature comme dans le monde professionnel, la solidité d’un collectif se mesure dans la tempête.
👉 Et la clé pour traverser ces moments, c’est la préparation, la communication et la cohésion.
Tempête Benjamin : des rafales puissantes et une vigilance nationale
Selon Météo France, la tempête Benjamin se caractérise par :
-
Des vents de 110 à 140 km/h sur la façade atlantique.
-
Des rafales atteignant 100 km/h jusque dans l’intérieur des terres.
-
Des vigilances orange et jaunes étendues à plusieurs régions.
Les préfectures ont appelé à la prudence : limiter les déplacements, éviter les zones boisées, et sécuriser les installations extérieures.
💬 Un rappel que la préparation et la réactivité sont essentielles, que ce soit face à la météo ou face à une crise organisationnelle.
Le parallèle entre tempête météo et “tempête managériale”
Les crises météorologiques et les crises d’entreprise ont beaucoup en commun :
-
Elles mettent à l’épreuve les structures.
-
Elles révèlent la cohésion ou les failles d’un collectif.
-
Elles nécessitent une communication claire et rapide.
👉 Une équipe bien préparée, c’est comme une maison solidement ancrée avant la tempête : elle résiste mieux.
Communication en période de crise : la clé pour tenir le cap
Quand tout bouge autour, la communication devient le point d’ancrage.
-
Informer régulièrement (même sans certitude absolue).
-
Donner des consignes claires et positives.
-
Maintenir un lien humain, même à distance.
💡 Dans les entreprises, associations ou collectivités, cela passe aussi par des signes visibles de cohésion : un logo, un uniforme, un objet commun qui rappelle l’appartenance à un même groupe.
Les objets personnalisés : des symboles d’unité dans la tourmente
Les objets personnalisés peuvent sembler anecdotiques, mais ils jouent un rôle fort dans les moments de tension :
-
Textiles (vestes, polaires, bonnets) → utiles et fédérateurs en extérieur.
-
Lampes, powerbanks, gourdes → pratiques en cas de coupure d’électricité ou d’événement terrain.
-
Badges, carnets, mugs → rappellent la culture d’entreprise, même en télétravail.
👉 Ces objets incarnent la solidité et la continuité d’une identité collective, même quand les conditions sont difficiles.
Exemple concret : une collectivité face à la tempête
Une mairie côtière fait face à une tempête majeure.
Plutôt que d’improviser, elle :
-
Distribue des kits de communication d’urgence (gilets, lampes, carnets, gourdes) à ses agents.
-
Met en place un plan d’information clair et visuel (affiches, signalétique, objets de reconnaissance).
-
Organise un débrief collectif après l’événement pour renforcer la cohésion.
👉 Résultat : une équipe réactive, fière et mieux préparée pour la suite.
Résilience et visibilité : les deux piliers du collectif
Dans un monde de plus en plus instable (climat, économie, communication), la résilience et la visibilité deviennent stratégiques.
-
La résilience, c’est la capacité à tenir malgré la pression.
-
La visibilité, c’est la capacité à rester identifiable et cohérent, même quand tout vacille.
💬 Les entreprises, collectivités et associations peuvent s’inspirer de cette leçon :
Préparez vos équipes à affronter la tempête, et donnez-leur les symboles qui leur rappellent qui elles sont.
La tempête Benjamin rappelle la puissance de la nature, mais aussi celle du collectif humain face à l’imprévu.
Dans le monde professionnel, c’est pareil : une communication solide, des symboles forts et des équipes soudées permettent de traverser les moments difficiles.
👉 Découvrez la gamme Translaser d’objets personnalisés utiles et durables, pensés pour accompagner les entreprises, associations et collectivités dans toutes les conditions.
Parce qu’une bonne communication, c’est aussi savoir rester visible dans la tempête.